|
|
Et d’ailleurs, pourquoi ne pas se laisser immédiatement emporter par ce timbre d’une soie inimitable, ce phrasé somptueux, ce souffle inépuisable, cet ambitus vertigineux et, aujourd’hui, la lumière discrètement teintée de couleurs crépusculaires dont elle pare ses Quatre derniers lieder ? C’est magique. Tout simplement.
Complétant cet enregistrement capté en direct lors d’un concert munichois en avril 2008, nous pouvons également l’entendre dans des extraits d’Ariadne auf Naxos et
|